Rubrique comprenant des liens sur son parcours et sur ses propres écrits
Alain Pecunia a milité dans le groupe Juventudes Libertarias et a participé à l’Alliance syndicaliste en 1969 ; il a été président du Comité Espagne libre de 1974 à 1977. Ouvrier du livre pendant de longues années, il est aussi l’auteur de nombreux romans noirs :
https://data.bnf.fr/fr/12902542/alain_pecunia/->cf https://data.bnf.fr/fr/12902542/alain_pecunia/
Nous avons avec sa collaboration revisité son engagement dans la lutte antifranquiste qui l’a mené dans les geôles de Franco à l’âge de 17 ans, et relayé ses écrits.
Les giménologues, le 9 décembre 2020
Son ouvrage prinicipal :
"Les ombres ardentes" , paru en 2004 aux éditions Cheminements :
https://www.unioncommunistelibertaire.org/Bonnes-feuilles-Pecunia-Les-Ombres-ardentes
On trouve depuis 2011 sur Feedbooks la version numérique (et actualisée) de ce livre sous le titre : Sombra y Sol - Matricule 44 (ainsi que la version espagnole intitulée Sombra y Sol).
La suite qu’il y a donnée en mai 2014 :
Trois libertaires français dans les prisons franquistes
L’HISTOIRE D’ALAIN PECUNIA, BERNARD FERRI ET GUY BATOUX
Article de Steven Forti publié dans la revue Atlántica XXII, :
http://gimenologues.org/spip.php?article609
Puis en octobre 2014 :
L’auteur des Ombres ardentes a saisi l’occasion de la publication de l’article de Steven Forti en Espagne pour ré-affirmer l’hypothèse implicitement évoquée dans son livre en 2004 selon laquelle son « accident » d’août 1966 n’en était pas un. Et pour demander publiquement l’accès aux dossiers de la police française le concernant, maintenant que l’État espagnol lui a communiqué une partie des siens, dont l’interrogatoire de police qu’il avait subi en avril 1963.
Comme il le dit lui-même :
« Quand je suis sorti de prison le 17 août 1965, à la date anniversaire de l’exécution de Joaquín et de Francisco, laissant Ferri et Batoux en otages et tous les autres prisonniers, j’étais content parce que cela me permettait de reprendre mes activités, mais je n’ai pas éprouvé de sentiment de délivrance.
En lisant et relisant ma déposition, cinquante ans après, je l’ai enfin éprouvée.
Je viens de sortir réellement de prison. Mais cela n’a de sens que si je vais jusqu’au bout car il ne faut jamais lâcher. » Alain Pecunia.
Pour notre part, et en sa compagnie, nous sommes revenu sur certaines articulations de son histoire, à partir de documents et d’informations inédits qui ont permis à Alain d’étayer son analyse, pas à pas, de 1966 à 2013 .
Voir Ombres et hombres :
http://gimenologues.org/spip.php?article610
Et Sombras ardientes, la version espagnole de ce document : http://gimenologues.org/spip.php?article621
Nous avons ensuite été amenés à publier un "Rectificatif et demande de droit de réponse concernant le texte Ombres et Hombres » Article modifié le 26 octobre 2014 : http://gimenologues.org/spip.php?article620
Ajoutons la participation d’Alain Pecunia en 2013 à l’ouvrage photographique de Jean-Yves GARGADENNEC : CARABANCHEL les ombres du franquisme. La prison Carabanchel de Madrid :
http://gimenologues.org/spip.php?article583